Terreur nocturne | Comment s’en débarrasser ?
La terreur nocturne, une calamité sans solution ?
Souvent le “privilège” des jeunes enfants, la terreur nocturne peut être effrayante pour les parents. Comment distinguer la terreur nocturne par rapport au cauchemar pur et simple ? Dans les deux cas, il est important de parvenir à calmer le jeu rapidement afin d’éviter que de mauvais rêves à répétition ne viennent prendre les rênes de la nuit de votre enfant. Malgré le côté très désagréable de la situation, plusieurs solutions s’offrent à vous. Avant d’opter pour l’artillerie lourde de médicaments qui ne feraient que vous assommer sans régler le fond du problème, vous pouvez commencer par d’autres solutions plus en accord avec le vivant. Une solution toute simple suffit souvent. Examinons l’état de vos nuits ou de celles de votre enfant.
Terreur nocturne : c’est impressionnante pour les parents
La terreur nocturne n’est pas un simple cauchemar. Lorsqu’il s’agit d’un rêve qui revient nuit après nuit, l’enfant n’aura pas conscience de ce qui lui arrive. Même votre présence à ses côtés ne le rassurera pas.
En effet, bien qu’ayant l’air réveillé, il ne remarquera souvent pas votre présence et pourra même être effrayé si vous le touchez.
La terreur nocturne se différencie du cauchemar en cela que même s’il pleure ou hurle, l’enfant n’est en réalité pas réveillé.
Il s’agit donc surtout d’éviter qu’il ne se blesse en restant près de lui au moment de la crise, puis de le laisser se rendormir sans lui faire remarquer son réveil qui, en réalité, n’est qu’apparent.
À différencier du cauchemar
Lorsqu’un enfant fait un cauchemar, il est souvent affolé et cherche la consolation et le soutien du parent présent. Ce qui n’est pas le cas lors de ces terreurs de la nuit.
Lors de ces épisodes pénibles pour chacun, l’enfant semble être en prise avec lui-même. Souvent d’un âge préscolaire, se situant entre 1 et 4 ans, son agitation parfois très énergique n’est en principe pas consciente.
Il ne sert donc à rien de tenter de rassurer l’enfant par des mots qu’il ne comprendrait pas.
Dans le cas d’un cauchemar, on peut discuter avec l’enfant le lendemain et tenter des stratégies rassurantes par les mots. Ce qui n’est pas le cas lors d’une panique vespérale.
Que faire alors pour le bambin, c’est fichu ?
Bien sûr que non. Il y a toujours des solutions dans la vie, n’est-ce pas ? Commencer par les solutions naturelles, tout en veillant évidemment à ce que l’enfant ne se blesse pas lors de ce réveil qui ressemble à du somnambulisme dans son lit.
Un réveil avant l’heure de la difficulté de l’enfant
Cette stratégie peut être très efficace. Sous un prétexte quelconque, comme boire, aller aux toilettes ou un autre subterfuge, on peut tenter de réveiller l’enfant 30 minutes avant l’heure de l’épisode observé.
Cela pourra avoir pour effet de casser la routine qui commençait à s’instaurer, sans rien dire pour autant, puisque l’enfant n’est pas conscient de son comportement.
Une tisane relaxante et un rituel rassurant
Le tilleul est parfait pour calmer les petits nerveux ou agités. Cette plante est aussi excellente pour éviter les bobos désagréables dans les petits tubes digestifs. Ce qui est déjà une belle solution qui évitera des épisodes difficiles en raison de troubles de l’estomac.
Par ailleurs, il peut être utile d’instaurer une véritable routine du coucher.
- Calme avant l’heure du coucher.
- Petite histoire lovée contre maman avant l’endormissement.
- Tisane tiède dans le biberon rassurant comme un doudou.
Un coach mental à distance travaillant avec le parent inquiet
Une autre solution très efficace est de faire appel à un coach mental qui travaille par téléphone ou internet avec le parent soucieux de son enfant.
Pour l’avoir souvent abordée avec succès, le lien entre le parent et l’enfant me permet d’agir sans difficulté sur l’enfant par le biais de son parent.
En deux à trois séances, parfois même avec un seul entretien, le problème est balayé. Ce qui cause tant de nervosité au parent est donc balayé très facilement.
Comment se déroule une séance dans ce cadre particulier ?
- Vous notez tout ce que vous avez observé du comportement inhabituel de votre enfant.
- Vous m’en faites le récit.
- Je travaille à distance.
- Je vous informe quand le soin est fait.
- Par la suite, vous pouvez me donner des retours sur la situation.
- Lorsque le problème est réglé en une séance, c’est parfait.
- Il faut parfois deux à trois séances maximum pour régler la situation.
La force de l’observation du lien parent enfant rend ce processus très efficace
C’est bien la force de mon observation du lien entre votre enfant et vous qui rend mon soin à distance particulièrement efficace.
Vous aurez peut-être la curiosité de lire comment cette capacité de soigner à distance m’est petit à petit apparue.
Ce qui est certain, c’est que mon travail est gagnant-gagnant. Gagnant pour vous, puisque votre problème est résolu en “deux coups de cuillère à pot”. Finies, les prises de tête contre productives et surtout inutiles !
Vous avez une solution à portée de main sans autre engagement que le prix d’une séance.
Un antidote express possible si vous avez des craintes
En règle générale, le problème est définitivement mis au tapis. Mais s’ il y a un nouvel aspect du problème qui fait surface, vous avez la possibilité d’acheter, pour le prix de moins d’une demi-séance, un antidote qui a fait ses preuves, en complément de la séance.
Vous pouvez m’interpeller par téléphone, whatsapp ou par SMS et je vous donne l’assurance d’intervenir – à distance – dans les quelques heures qui suivent.
Je vous informe par whatsapp ou par SMS lorsque j’ai fait le travail.
Vous n’êtes pas lâché dans la nature puisque mon credo est de rendre à chacun sa liberté.
En principe, cet antidote n’est que rarement nécessaire.
Comment me joindre :
Vous pouvez me contacter pour un rendez-vous ou pour des renseignements par ma page de contact qui contient aussi mon numéro de téléphone.
Alors, à bientôt !
Une petite fille terrorisée lors d’une terreur nocturne
