Publié par Ben le
Terreur nocturne: Causes, symptômes et solutions
La terreur nocturne, une calamité sans solution ?
Terreur nocturne : c’est impressionnant pour les parents
La terreur nocturne n’est pas un simple cauchemar. Lorsqu’il s’agit d’un rêve qui revient nuit après nuit, l’enfant n’aura pas conscience de ce qui lui arrive. Même votre présence à ses côtés ne le rassurera pas.
En effet, bien qu’ayant l’air réveillé, il ne remarquera souvent pas votre présence et pourra même être effrayé si vous le touchez.
La terreur nocturne se différencie du cauchemar en cela que même s’il pleure ou hurle, l’enfant n’est en réalité pas réveillé.
Il s’agit donc surtout d’éviter qu’il ne se blesse en restant près de lui au moment de la crise, puis de le laisser se rendormir sans lui faire remarquer son réveil qui, en réalité, n’est qu’apparent.
À différencier du cauchemar
Lorsqu’un enfant fait un cauchemar, il est souvent affolé et cherche la consolation et le soutien du parent présent. Ce qui n’est pas le cas lors de ces terreurs de la nuit.
Lors de ces épisodes pénibles pour chacun, l’enfant semble être en prise avec lui-même. Souvent d’un âge préscolaire, se situant entre 1 et 4 ans, son agitation parfois très énergique n’est en principe pas consciente.
Il ne sert donc à rien de tenter de rassurer l’enfant par des mots qu’il ne comprendrait pas.
Dans le cas d’un cauchemar, on peut discuter avec l’enfant le lendemain et tenter des stratégies rassurantes par les mots. Ce qui n’est pas le cas lors d’une panique vespérale.
Que faire alors pour le bambin, c’est fichu ?
Un réveil avant l’heure de la difficulté de l’enfant
Cette stratégie peut être très efficace. Sous un prétexte quelconque, comme boire, aller aux toilettes ou un autre subterfuge, on peut tenter de réveiller l’enfant 30 minutes avant l’heure de l’épisode observé.
Cela pourra avoir pour effet de casser la routine qui commençait à s’instaurer, sans rien dire pour autant, puisque l’enfant n’est pas conscient de son comportement.
Une tisane relaxante et un rituel rassurant
- Calme avant l’heure du coucher.
- Petite histoire lovée contre maman avant l’endormissement.
- Tisane tiède dans le biberon rassurant comme un doudou.
Un coach mental à distance travaillant avec le parent inquiet
Comment se déroule une séance dans ce cadre particulier ?
- Vous notez tout ce que vous avez observé du comportement inhabituel de votre enfant.
- Vous m’en faites le récit.
- Je travaille à distance.
- Je vous informe quand le soin est fait.
- Par la suite, vous pouvez me donner des retours sur la situation.
- Lorsque le problème est réglé en une séance, c’est parfait.
- Il faut parfois deux à trois séances maximum pour régler la situation.
La force de l’observation du lien parent enfant rend ce processus très efficace
Un antidote express possible si vous avez des craintes
En règle générale, le problème est définitivement mis au tapis. Mais s’ il y a un nouvel aspect du problème qui fait surface, vous avez la possibilité d’acheter, pour le prix de moins d’une demi-séance, un antidote qui a fait ses preuves, en complément de la séance.
Vous pouvez m’interpeller par téléphone, whatsapp ou par SMS et je vous donne l’assurance d’intervenir – à distance – dans les quelques heures qui suivent.
Je vous informe par whatsapp ou par SMS lorsque j’ai fait le travail.
Vous n’êtes pas lâché dans la nature puisque mon credo est de rendre à chacun sa liberté.
En principe, cet antidote n’est que rarement nécessaire.