Addictions : quand on veut s’en sortir… mais que quelque chose plus fort nous en empêche
Publié par Ben le

Addictions : quand on veut s’en sortir… mais que quelque chose plus fort nous en empêche
Addictions : quand on veut s’en sortir… mais que quelque chose plus fort nous en empêche
L’addiction n’est pas toujours ce qu’on croit.
- se réfugier dans la nourriture,
- fumer pour calmer l’angoisse,
- ne pas pouvoir s’arrêter de scroller sur les réseaux sociaux,
- passer des heures à jouer, incapable de décrocher,
- avoir besoin de contrôler, de combler, de remplir,
- retourner sans cesse vers une relation nocive…
Autant de comportements qui soulagent… sur le moment. Mais qui, très vite, enferment.

Ce que l’on vit quand on veut arrêter… et qu’on n’y arrive pas
-
- Elles savent… mais n’arrivent pas à s’en défaire.
- Elles essaient, puis craquent.
- Elles promettent que cette fois, c’est la dernière. Puis recommencent.
Et ce cycle devient de plus en plus lourd à porter. Il y a la culpabilité, la honte, le sentiment d’échec, et surtout, cette solitude intérieure que personne ne voit.
- Ce n’est pas seulement une question de volonté.
- Ce n’est pas un manque de discipline.
- Ce n’est pas parce qu’elles « ne veulent pas vraiment ».
C’est parce que quelque chose de plus profond les pousse à répéter le comportement — une émotion non digérée, une peur enfouie, une croyance limitante…
Quelque chose qui reste coincé, imprimé dans le corps énergétique, et qui continue d’agir malgré elles. Quelque chose d’invisible… mais bien réel.
Avant de s’en sortir, il faut d’abord prendre conscience
Et c’est souvent la partie la plus difficile.
Il faut du courage pour reconnaître que ce qu’on fait pour « aller mieux » nous fait, en réalité, du mal. Il faut oser se regarder en face, sans se juger. Et surtout : il faut se sentir suffisamment en sécurité pour le faire.
Parce que l’addiction n’est pas une faiblesse. C’est un mécanisme de survie qui s’est installé à un moment où c’était nécessaire. Mais qui aujourd’hui empêche d’avancer, d’être soi, de respirer librement.
Et si on arrêtait de lutter ? Et si on libérait ce qui nourrit l’addiction, à la racine ?
Dans mon approche psycho-énergétique, je propose un accompagnement profondément libérateur pour celles et ceux qui veulent se sortir de ce cercle, mais n’y arrivent pas
seuls.
Je n’aide pas à « contrôler » l’addiction. Je travaille à libérer ce qui déclenche le besoin compulsif : le stress, le vide, la peur, la colère, la tristesse, la sensation d’être perdu ou seul.
Concrètement, la personne exprime ce qu’elle vit. Puis je l’invite à fermer les yeux, à se détendre. Un espace s’ouvre dans son corps énergétique, et je l’aide à se libérer, en douceur, de la charge émotionnelle ou de la croyance inconsciente qui l’empêchait de lâcher prise.
Viviane Giroud, psycho-énergéticienne, je vous accompagne dans votre transformation intérieure
Lors de la première séance, vous m’exposez ce que vous vivez : la situation, vos émotions, les pensées qui tournent en boucle.
J’identifie alors ce qu’il y a à libérer. Et je vous invite à fermer les yeux. Le soin se fait en douceur, dans un espace sûr. Votre corps et votre énergie m’indiquent quand tout est prêt.
Et alors, les choses changent. Vous vous sentez plus calme, plus confiant, plus aligné.
Vos mouvements deviennent plus fluides. Vos réactions plus justes. Vous êtes de nouveau pleinement présent dans votre corps et dans votre objectif.
Chaque séance permet de retrouver plus de clarté, plus de calme, plus de liberté intérieure.
Psycho-énergéticienne
Ma méthode de libération émotionnelle
Pour en savoir plus sur mon accompagnement et ma méthode de libération émotionnelle, rendez-vous sur la page dédiée Ma méthode.
🌿 Une méthode douce, précise et efficace
🌿 Développée au fil de plus de 25 ans d’accompagnement
🌿 Qui agit sur les plans émotionnel, mental et énergétique.
Où et comment se passent les séances ?
Je vous accueille dans mon cabinet à Genève, ou à distance (en visioconférence ou téléphone). Les résultats sont tout aussi efficaces et libérateurs, quelle que soit la formule choisie.

Et si je vous donnais un coup de pouce ?
Si ce que vous venez de lire résonne en vous ou vous donne envie d’en savoir plus, je serai heureuse d’en parler avec vous.
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